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Au-delà des chiffres, merci à vous tous pour ces mots, ces échanges, ces prises de bec... la vie quoi !
Inépuisable, Gaston Flosse épuise aussi toutes les possibilités offertes à lui pour –encore- tenter de se tirer d’affaire. Trois juridictions, la Chambre territoriale des comptes, la Cour des comptes et enfin le Conseil d’Etat, pas plus tard que mercredi, sont allés dans le même sens, le déclarant « gestionnaire de faits ». En gros, le bon vieux sénateur avaient multiplié les contrats cabinets pour tenir tout son monde durant son règne à la tête de la Polynésie. Ne pouvant décemment pas faire croire que tous ces collaborateurs travaillaient auprès de lui, il les détachait auprès de communes. Du moins sur le papier.
Quatre ans et même sept ans après certains premiers versements de salaire à la vingtaine de mise en cause, Flosse, enfin son avocat, a trouvé une parade : faire déclarer ces mises à dispositions « d’utilité publique ». C’est possible ! Ben voyons...
Sauf que cette utilité publique, c’est l’assemblée locale qui la décide. Une assemblée qui reste toujours opposée à Flosse, à une voix près. Et puis, c’est son nouveau copain, Oscar Temaru qui est bien dans la merde. Aller dans le sens de Flosse, c’est renier la lutte d’une vie contre les magouilles, aller contre Flosse, c’est froisser son nouveau pote...
On devrait savoir jeudi prochain si l’utilité publique est déclarée. Sans quoi, la vingtaine de bénéficiaires devra rembourser 231 millions de Fcfp (près de 2 millions d’Euros) au total. Et Flosse se retrouvera le bec dans l’eau !
Même un recours devant le Conseil constitutionnel (une spécialité locale avec le Conseil d’Etat) contre l’élection de Flosse et de son « petit fils » au Sénat le mois dernier fait à peine bouger le microcosme. Faut dire que la requête de Tong Sang et Béatrice Vernaudon, les deux candidats de la majorité battus par le duo de l’opposition, n’a que peu de chance d’aboutir selon les spécialistes du Dalloz et de la jurisprudence, constante ou pas.
OK, OK, j’arrête avec les platitudes... Moi aussi je suis comme l’actu : à plat !
Mauvaise foi ou foi et don de soi de Sœur Emmanuelle ?
Entre les deux, mon cœur balance...
Forcément, son franc-parler va nous manquer, comme celui de l’Abbé Pierre. Qui les remplacera pour secouer le cocotier, forcer la main à nos politiques ? Augustin Legrand ? La relève semble se faire attendre.
Une relève qui servirait bien à pointer la mauvaise foi de l’opposition en méropole. Cette malhonnêteté intellectuelle, reprise par diverses corporations, qui me gave même carrément ces derniers jours.
Ce raisonnement n’est même pas simpliste, il est absurde !
Doit-on rappeler que ce montant n’est que la garantie maximale de l’Etat vis-à-vis des banques, une somme qui ne devrait jamais être atteinte.
Une somme qui permet d’éviter la panique de la population, lui évitant de craindre en son épargne, empêchant le chaos de 1929, les queues devant les banques et les faillites de tout un système.
La paix est à ce prix.
Un prix qui d’ailleurs pourrait n’atteindre que 1% de cette somme.
Drôle de malhonnêteté !
Les persifleurs, les aigris, ceux qui ne comprennent pas que l’on puisse soutenir, aider, aimer un club qui ne participe pas à la Ligue des Champions, ne savent pas ce que c’est. Pourtant, grappiller un point à l’extérieur quand ton compteur n’en affiche que quatre jusque-là, cela te procure un bonheur incommensurable.
OK, ce nul (1-1) a été obtenu à Sochaux qui navigue dans les mêmes eaux que mon HAC. Mais, dans la tête des sochaliens, ne pas pouvoir s’imposer chez soi face à la lanterne rouge, cela doit te plomber le moral.
Et pour mes ciel et marine (qui évoluaient enfin en blanc, une idée à retenir pour nos prochains matches à l’extérieur) ce point doit faire un peu oublier les 11 égarés depuis le début de la saison après avoir mené au score (3 défaites, 1 nul)...
On croit rêver ! Le nouvel épisode du sifflage de la Marseillaise, mardi au SDF, une habitude lorsque la France rencontre une équipe issues de ses anciennes colonies, a occupé la journée de mercredi de nos politiques, qu’ils soient au pouvoir ou rêvent d’y être. Si les faits sont inacceptables, nos dirigeants n’ont pas plus préoccupants à gérer actuellement ?
Espérons aussi qu’ils s’y prennent beaucoup mieux pour résoudre les problèmes majeurs. Car, en prenant à bras le corps cet incident de la Marseillaise pour montrer, qu’à tout prix, ils gèrent le quotidien des Français, nos gouvernants ont lancé des solutions miracles complètement ridicules. Qu’ils laissent le football au monde du foot !
Le seul intérêt de cette polémique tient dans le maintien de Domenech à la tête des Bleus qui est passé quasi inaperçu. Un dossier enfin clos presque en douceur.
Me voilà à nouveau doté de tous mes membres en état de marche quasi-normale. Donc de retour pour vous laisser mes réflexions sur l’actu.
Le petit Michel Bourez, notre meilleur surfeur tahitien, devrait le rejoindre sur le circuit du top 45 mondial l’an prochain s’il reste calé dans le peloton de tête du WQS, la D2 du surf mondial. Une première depuis 20 ans pour un surfeur polynésien !
Alors pendant la dernière visite d’Yves Jégo le ministre de l’outre-mer, à l’occasion des commémorations des 30 ans de la disparition de Jacques Brel, qui repose sur l’île de Hiva Oa, dans l’archipel des Marquises, à plus de 1 000 km de Tahiti, une nouvelle tentative de renversement s’est déroulée à Papeete, par Jean-Christophe Bouissou, normalement allié de Tong Sang. Mais Bouissou s’est retrouvé le bec dans l’eau et comme un couillon après l’échec de son putsch, retournant la queue entre les jambes dans l’actuelle majorité...
Il fait toujours des conneries (on a une charnière entre un mec remplaçant en club, Boumsong, et un latéral qui n’est plus assez bon pour occuper ce poste en Bleu, Abidal) mais il a réussit son coup avec Gourcuff depuis deux matchs. Et ce but !!! Cela me rappelait à la fin des années 70 la séquence des buts étrangers à Stade 2. Tu voyais une demi douzaine de buts allemands et anglais venus d’ailleurs chaque semaine (C’était avant Canal, le satellite, le câble et la TNT, notre seule lucarne sur le foot étranger, eh oui, les jeunes !).
Bref, avec Gourcuff, Ribéry, Henry, Benzema, plus Ben Arfa, Nasri ou Anelka, on est armés devant. Sauf que l’on reste orphelins du quintet de derrière version 98 : Barthez, Lizarazu, Blanc, Desailly, Thuram. Et Domenech ou un autre n’y pourra rien changer !
Inoxydable ? Indestructible ? Hypnotiseur ? On se perd dans les qualificatifs au sujet du vieux lion.
En attendant, il vient de faire un d... à l’UMP (« Bien fait pour leur gueule » a-t-il lâché après sa réélection), à Sarkozy et à la moitié de la Polynésie qui pensait célébrer sa mort politique ce dimanche.
En conservant, dès le 1er tour son siège de sénateur, en emmenant dans son sillage l’indépendantiste quasi-inconnu Richard Tuheiava, qu’Oscar Temaru lui avait mis dans les pattes, Flosse fait la nique à tout le monde.
Belle santé à 77 ans !
Même si Lyon n’est –toujours pas- un grand d’Europe, n’en déplaise à Aulas, l’OL, à l’instar d’un Liverpool face à l’OM sur la scène continentale, sait au moins se faire respecter sur le terrain de la Ligue 1. Dominé samedi au Havre, Lyon s’est contenté d’un penalty pour faire un hold-up et emballer trois points qui auraient du revenir au HAC.
Des ciel et marine qui restent animés des meilleures intentions, pratiquent un jeu porté vers l’avant, font preuve d’allant... Sauf que cela ne paye toujours pas !
4 points en 6 matches, une 18e place synonyme de retour vers la L2 si la saison s’arrêtait là, le bilan chiffré du Havre est à l’opposé de la philosophie de jeu appliquée et prônée par Nobilo.
Alors rêvons qu’à la place du tableau d’affichage, la morale désignait le vainqueur d’un match. Alors, l’Allemagne ne serait pas triple championne du monde et d’Europe, la France afficherait un peu plus d’un titre planétaire et de deux couronnes continentales...
Et le HAC occuperait un autre classement au soir de cette 6e journée !
Le vieux lion sent-il la fin de son histoire ?
Cela y ressemble vraiment si l’on se réfère à ses déclarations dans la dernière ligne droite de cette campagne des sénatoriales, dont l’élection aura lieu ce dimanche.
Mercredi soir, lors d’un débat sur RFO face à Tong Sang, Flosse a complètement pêté un câble, lâchant n’importe quoi.
D’abord, reprochant à Tong Sang de faire campagne avec les moyens du Pays (ce qui n’est pas faux, du moins de jouer de sa position de président), Flosse a indiqué qu’en 1998, lors de la précédente course vers le sénat qui l’avait vu se faire élire, il n’était « pas président de la Polynésie ». Tous les manuels d’histoire -et même wikipédia- indiquent pourtant que Flosse a présidé la Polynésie de 1984 à 1987 puis de 1991 jusqu’au fameux 23 mai 2004.
Alzheimer ? Négation de l’histoire ?
Même à 77 ans, on va pencher pour la seconde version. Car le vieux lion, qui se targue d’avoir fonder le RPR et revendique son appartenance gaulliste depuis 1958, n’écarte pas l’idée de siéger chez... les socialistes s’il conserve son mandat de sénateur !
Pathétique fin de parcours...
Parler politique... Pfff !!!!
L’exercice n’a rien de valorisant pour la Polynésie. Encore plus ces dernières semaines !
L’approche des sénatoriales (le 21), avec un deuxième siège désormais dévolu à la Polynésie, la majorité qui tient toujours à un siège, et le gâteau qu’il convient de se partager avant qu’il ne soit servi à la population... tout cela aiguise les mêmes appétits.
Alors, Flosse et son petit-fils par l’âge (l’avocat Richard Tuheiava), que Temaru lui a mis dans les pattes pour former le ticket commun Tahoeraa-Tavini, tentent de bourrer le mou des 697 grands électeurs. Flosse a avalé son dentier en apprenant que l’UMP filait son investiture à Tong Sang et Béatrice Vernaudon, les candidats de la majorité locale.
Une majorité sous la menace d’un Emile Vernaudon qui s’agite dans tous les sens, fait planer tout et son contraire, pour obtenir de Tong Sang de biens mystérieux avantages... Pour l'instant, Tong Sang, par on ne sait quelle méthode, parvient à enfumer le shérif !
Enfin, on va bientôt rigoler avec Jégo, le ministre de l’outremer, qui revient dans un mois pour les 30 ans de la mort de Jacques Brel (enterré aux Marquises).
« Gémir n’est pas de mise aux Marquises » chantait l’artiste. Sauf, qu’après les résultats des sénatoriales, certains pourraient bien gémir lors de la visite ministérielle...
Je ne vous en avais pas parlé depuis trois mois...Pourtant, Kelly Slater poursuit son show.
Hier en Californie, ET a inscrit son nom à la 7e étape du Tour mondial 2008, une 5e victoire cette année. Plus que jamais, une neuvième couronne mondiale se profile pour ce champion qui nous pousse à chercher de nouveaux qualificatifs afin de décrire ses performances... D'ailleurs, le public français pourrait vivre en live ce sacre puisque Slater peut décrocher le titre planétaire s'il remporte le Quiksilver Pro qui débute la semaine prochaine à Hossegor !
L’extase n’était pas au rendez-vous. On s’en doutait. Et ce n’est pas ce qui était ambitionné. En l’emportant 2-1 face à la Serbie, les Bleus, sans tomber dans le génial, ont fait le boulot. Et sauvé la tête de Domenech pour un mois, et le prochain match en Roumanie.
Alors, j’avoue que cela commence à me gaver sec la cabale contre Domenech et Escalettes, le président de la FFF.
L’Equipe qui y va allègrement pour avoir la peau des deux, cela devient très saoûlant...
Heureusement, la L1 reprend ce samedi avec un formidable Rennes-Le Havre ;)
La polémique avec le nouveau maillot du HAC a donné des idées à certains. Ainsi JBa nous propose de discourir sur la nouvelle tunique bleue, celle utilisée ce mercredi en Suède. L'un des derniers méfait d'Adidas avant Nike n'entre en scène...
Pour ma part, je dois réfléchir avant de me prononcer. Je vous laisse déjà les impressions de JBa :
"Je dirais que si nous faisons abstraction du côté « Grand Prix Marie- Claire » couru à Longchamp cet été, cette casaque bicolore, aux traits irréguliers horizontaux reprend, d’une certaine façon, les grandes lignes d’un maillot de rugby d’outre-manche réussi.
Le mélange de couleur « ciel et marine », rompt indéniablement avec le bleu roi traditionnel qui donnait la sobriété et le standing à la liquette d’une équipe étoilée.A l’instar de Sean Connery devenu Daniel Craig dans le dernier James Bond, cette rupture avec un passé glorieux désormais lointain confère à ce maillot, un aspect décadent, sexy et glamour. Entre fausse note et éclair de génie donc, pour le dernier né de la boutique aux trois bandes".
Cela vous manquait, je le sais par les nombreux messages reçus me demandant des nouvelles politiques du fenua...
> Alors, commençons par le ticket des sénatoriales (élections le 21 septembre pour les deux sièges de Polynésie) entre les nouveaux grands amis de 1 an, après 30 ans de meilleurs ennemis, Flosse et Temaru.
Le premier, forcément, brigue un nouveau mandat de sénateur. Pour l’immunité, le financement et les avantages. Le second s’en fout comme de l’an 40. Ce qui l’intéresse, c’est d’assécher complètement le Tahoeraa. Alors, au lieu de former le ticket avec Flosse, Temaru lui a balancé dans les jambes un gamin quasi inconnu des grands électeurs, un avocat de 34 ans, Richard Tuheiava, à droite.
34 ans... Flosse, du haut de ses 77 ans, pourrait être son grand père. Et puis, l’avocat a déjà prévenu qu’il se ferait le porte-parole de la revendication indépendantiste au Sénat en cas d’élection. Flosse, a avalé sa salive, son orgueil, mis son mouchoir par-dessus, et doit faire avec. Conscient que si Temaru voulait plomber sa réélection, il ne s’y serait pas pris autrement.
> Dans le camp d’en face, chez Tong Sang, une demi-douzaine de candidats sont sur la ligne de départ. Du coup, Tong Sang a reculé l’échéance de la désignation des deux. C’est qu’il avait un collectif budgétaire à faire passer à l’assemblée locale, histoire d’imprimer un peu sa patte après quatre mois de gouvernance. Il était temps !
Le duo Flosse-Temaru est parvenu à faire durer l’examen de ce collectif pendant plus de deux semaines (pour l’adoption du budget primitif 2009, ils vont y passer deux mois à ce rythme), histoire de tendre la majorité au maximum... Le collectif adopté jeudi soir, on attend désormais les déchirements dans le camp Tong Sang avec les deux désignations...
> Pendant ce temps, Emile Vernaudon, le maire réélu depuis sa prison, libre depuis, n’en fini pas d’accumuler les tuiles. Au sujet du financement de sa campagne des municipales, les comptes viennent d’être rejetés par la commission nationale. Comble de malheur pour le brave shérif, il risque une peine... d’inéligibilité. Une peine déjà suspendue au-dessus de sa tête (un an) dans une autre affaire , pour laquelle il est en cassation...
> A part ça, rien à Tahiti-les-Bains !
Se faire battre à la 88e lorsque tu as mené quasiment depuis le début, le HAC a poursuivi son apprentissage de la L1 aujourd’hui à Toulouse (2-1).
On a beau faire les warriors, et mon Totophe Revault en premier, sur l’affiche ci-dessus, nous restons des novices à ce niveau. D’ailleurs, d’ici début octobre, notre compteur de points pourrait bien rester bloqué à 3 après les réceptions de Marseille et Lyon, et les voyages à Nancy, Rennes et Auxerre... Tout le monde le savait, cela sera délicat. Mais pas impossible !
Tout juste suis-je un peu moins optimiste avec cette affiche. La dernière fois qu’une telle mise en scène a été faite, c’était en 2004-2005. Et nous avions éviter la relégation en National qu’avec des miracles et des coups de poker d’Uvenard appelé à la rescousse après le naufrage orchestré par Hinschberger.
Alors que cette initiative ne nous porte pas la poisse...
22 médailles mais trois en or seulement à mi-parcours pour les Bleus...
Alain Bernard sur 100 libre est l’exception du mec attendu qui répond présent. Aucune de nos autres têtes d’affiche n’est allée décrocher l’or. En escrime, la victoire par équipe des épéistes n’a pas la saveur d’un titre individuel, quant à la troisième récompense en or, celle du lutteur Steeve Guénot, mis à part pour ses parents, son frère et de ses collègues de gymnase, il ne partait pas favori...
Alors oui, place aux surprises, à ceux qui n’avaient pas la pression sur les épaules. Les autres ne l’ont pas supporté. Voilà pourquoi nous récoltons une ribambelle d’accessits avec beaucoup d’inconnus qui profitent de défaillances pour monter sur les podiums. Mais pas en haut.
Out, les Estanguet, Flessel, Riner, Tournant, Arron, Manaudou, le boxeur Jérôme Thomas ou l’escrimeur Guyart. Concernant Laure Manaudou, cela lui pendait au nez depuis mai 2007 et son clash avec son fou furieux d’entraîneur. C’était le signe que sa motivation n’était déjà plus là. Depuis, ce n’était qu’illusion. Mais arrêtons de lui taper dessus. Ses titres, ses médailles, acquises de 2004 à 2007 ne doivent pas être oubliées !
Maintenant, que nous reste-t-il pour aller chercher un titre et nous faire monter au classement ?
Baala, Diniz, Montebrun en athlé ? Les garçons du hand ? Absalon au VTT ? C’est maigre...
Hugues pourra faire une belle paire de boucles d’oreilles avec ses deux médailles de bronze from Pékin. Au-delà du plaisir procuré à sa copine de porter de tels bijoux, notre Duboscq from LH beach, a tout fait pêter lors de ces JO : cinq records de France en sept courses, deux médailles de bronze donc, qui, en s’ajoutant à celle déjà décrochée à Athènes en 2004, le rendent unique. Aucun français n’a jamais remporté trois médailles en natation sur deux olympiades... Et en plus, le gamin veut aller jusqu’à Londres 2012 ! Reste à savoir avec qui...
Tant Hugues que l’inénarrable Christos Paparrodopoulos, le mythique sorcier grec, son entraîneur depuis toujours, font l’objet de sollicitations pour tâter l’eau d’autres bassins que ceux du Havre. C’est la loi du sport pro, mais quelque chose nous dit que ces deux là ne sont pas fait du même bois que les autres. D’autres pages leur restent à écrire sous les couleurs du Club Nautique Havrais, le CNH quoi...
Voilà pour la revue havraise, à jour, des JO, en attendant la finale du 100 brasse de Hugues…
Le titre de L’Equipe de samedi dernier, saluant le départ de Thuram, résume bien le sentiment ambiant. Enfin tel que je l’ai ressenti… Le fait est si rare en ce moment, tant je trouve que L’Equipe manque d’inspiration en Une !
Alors, oui « Merci Monsieur… » Avec tout ce que cela sous-entend.
Je ne vais pas vous refaire le coup des 142 sélections ; de son passage sur terre, venu de nulle part, face à la Croatie un soir de juillet 1998 ; de ses prises de positions en dehors des terrains et plutôt du côté des banlieues…
Non, avec son départ, c’est la défense mythique, celle qui n’a jamais perdu en Bleu, Barthez - Thuram – Desailly – Blanc - Lizarazu, qui trône désormais sous verre sur la cheminée. A jamais.
Alors, oui « Merci Monsieur… »
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