Bah voilà, ce dimanche a bien été insoutenable avec la victoire de l’OM sur le PSG. Mon Marseillais préféré ne comprenait pas que ce succès, valeureux s’il en est (avec au passage un arrêt MONUMENTAL de Mandanda, formé au Havre pour ceux qui ne le saurait encore…), ne compte que peanuts auprès de la victoire de Bordeaux à Monaco. D’ailleurs, en dehors des concernés parisiens et ohémiens, on s’en fout un peu de ce classico au rabais. Sur ce sujet, je suis assez d’accord avec So Foot. Voyez cela.
Enfin, l’info du week-end, vous l’avez tous calculé, ce n’est pas tant ce 6-0 administré en une mi-temps par les Girondins aux Albert’s Boys, non, c’est bien le retour des Bordelais sur les talons de Lyon. Un point d’avance à la 25e journée, l’OL n’avait plus connu cela depuis… 2004. Lors des trois derniers exercices, la course au titre était pliée, bâchée, entendue, terminée quoi, à cette époque de l’année, alors que le printemps ne perçait pas encore et que les oiseaux n’avaient repris leur cui-cui bucoliques ! Ouh là, je deviens poète… Reprenons-nous. Et là, les 13 dernières journées ne serviront pas uniquement à distribuer les tickets pour l’Europe des pauvres et ceux pour la L2. Et cela, grâce aux Lyonnais qui, avec un effectif incomparable en France, tergiversent dangereusement. Merci Aulas !
Enfin, goûtons notre plaisir de voir à nouveau la saveur habiter notre championnat hexagonal. Cela va nous passionner. Surtout qu’il se pourrait très vite que cela reste notre seul centre d’intérêt. Car, si les Gones ne se retroussent pas les manches, se sortent les doigts du c…, leur parcours européen risque d’être stoppé par Manchester U lors d’un enterrement de premier ordre en deux tomes. On verra cela mercredi (si mes politiques me laissent respirer) pour la première partie de l’inhumation annoncée…
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