Manoa Drollet est très, très grand. Teahupoo 2008 restera, pour les Polynésiens, comme l’année Manoa. Deux fois il s’est payé Kelly Slater. Puis, il a sorti des baroudeurs comme Tom Whitaker, Adrian Buchan et Joel Parkinson avant de plier dans la série la plus pourrie de toute la Billabong Pro. Sauf que c’était la finale face au brésilien Bruno Santos (en photo), sorti des Trials et donc bénéficiaire d’une wild card, une invitation comme Manoa. La revanche des sans grade, des rmistes du circuit surf sur les millionnaires de la surf industry. Et Bruno Santos devrait changer rapidement de catégorie…
Manoa, on n’oubliera pas ce que tu as fait pendant trois jours. Malheureusement, ce coup d’éclat risque de rester en l’état. Comme son destin.
Il ne participe pas au circuit WQS, l’antichambre du Tour Mondial WCT, dont Teahupoo est l’une des étapes. Comme beaucoup de Tahitiens, par faute de moyens financiers ou de volonté d’aller écumer les vagues du monde, préférant rester maître à domicile plutôt que faire valoir à l’échelle planétaire, Manoa se contente d’une unique représentation annuelle : Teahupoo.
Rendez-vous l’an prochain en souhaitant que les vagues dantesques des trials décident cette fois de déferler lors du Billabong Pro !
samedi 17 mai 2008
Manoa est très, très grand… Santos aussi !
Un tout petit rien… C’est un poil de cul, enfin plutôt 15 cm de vague supplémentaires afin de rester plus longtemps dans le tube, qui fait basculer un destin. Ou pas.
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